
Lundi 2 juin, les élèves de
seconde générale option design et de terminale
Bac Pro MarVi -Marchandisage Visuel- ont participé à un atelier inter-filières inédit animé par l’association
Jeu de Matières. Cette matinée, placée sous le signe de la création responsable, a permis de croiser les regards, les compétences et les sensibilités autour d’un enjeu essentiel : le rôle du design dans l’économie circulaire.
Après une présentation de l’association et de ses engagements pour le réemploi des chutes textiles, les 50 élèves ont été répartis en deux groupes, alternant deux ateliers complémentaires.
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Au Théâtre de la Bastille, quelques étudiant.es de DNMADE ont pu découvrir le spectacle Mos de la chorégraphe Ioanna Paraskevopoulou, entre le bruitage de cinéma et la performance de claquettes.
Un étudiant de deuxième année de DNMADE fait part de ses impressions :
«En sortant de la salle, mon incompréhension envers cette représentation s'est transformée en admiration : les comédiens jouant avec l'espace de la salle avec une aisance majestueuse, la mise en scène nous forçant à regarder derrière nous, fermer les yeux, imaginer ou encore se focaliser soit sur les comédiens soit sur l'extrait de film projeté... Tous les aspects d’un spectacle sont mis en avant, dans une ambiance où l'humour et le dérangeant s'entremêlent, résultant en une performance artistique mémorable.»
L. Dion, professeure de lettres
Possible ou impossible ? Le spectacle proposé aux DNMADE fin mars à la Villette, On m’a trouvée grandie de Valentine Losseau, nous plongeait au cœur d’un hôpital psychiatrique du début du XXe siècle avec un jeu d’apparitions, de disparitions et de lévitations très troublant.
Une étudiante de troisième année de DNMADE raconte cette expérience de l’étrange :
"J’ai été fascinée par les jeux de disparition et d’apparition, les gestes chorégraphiés, l’ambiance sonore, la lumière, les dialogues farfelus et presque cohérents. À un moment, je me suis perdue dans la psyché des personnages ; je ne pouvais plus savoir s’ils étaient fous ou non et s’ils appartenaient à une réalité ou à un rêve".
L. Dion, professeure de lettres