Written by Super Utilisateur.
Le 10 décembre, quelques étudiantes de DNMADE et de DSAA ont assisté au Théâtre des Bouffes du Nord à une lecture en musique du texte de Dorcy Rugamba, un intellectuel rwandais, autour du génocide de 1994 au Rwanda : Hewa Rwanda. Lettre aux absents, éd. JC Lattès, 2024. Une étudiante en parle :
"La pièce Hewa Rwanda était dans l'ensemble une belle mise en scène pour narrer ce génocide, avec un texte bien écrit. Le musicien/chanteur aux côtés de l'auteur était une pure merveille, il temporisait le récit, accentuait les points forts, et sa voix était sublime. »
Miyako, DNMADE 1
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Written by Sophie Wallois .
Comme l’an dernier, d’anciens élèves sont venus rencontrer nos étudiants dans le cadre de la semaine Mon Parcours Mon Métier.
Ces anciens élèves, fidèles à cet échange, ont partagé leurs expériences et présenté leurs parcours d’études aux élèves actuels, lors de rencontres organisées sur deux journées. Les élèves de Terminale STD2A ainsi qu’une classe de Première ont pu échanger avec eux dans une ambiance chaleureuse et décontractée, recueillant des conseils précieux à l’approche de l’ouverture de Parcoursup.
Ces échanges ont permis aux anciens élèves de présenter diverses formations et métiers dans des domaines tels que le graphisme, le motion design, l’illustration, l’animation, le design d’espace ou encore le design produit. Ils ont également évoqué l’évolution des attentes en STD2A, les exigences des études post-bac, ainsi que les réalités et les défis du monde professionnel dans les arts appliqués. Malgré le sentiment parfois partagé que les discussions étaient trop brèves en raison du grand nombre de participants, ces moments d’échanges ont été très enrichissants.
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Written by Super Utilisateur.
Quelques étudiantes de DSAA et DNMADE ont découvert la danse Krump au Théâtre de la Bastille grâce au spectacle Cellules présenté par la danseuseNach.
Deux étudiantes de DSAA racontent :
« Krump, danse puissante. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit. Comme lors d’un combat, les mouvements sont saccadés, amples, précis. La danseuse se bat contre les autres, invisibles, dissimulés dans l’obscurité, mais aussi contre elle-même. Elle éprouve chaque pas, transmet autant d’émotions par le corps que par ses expressions du visage, exacerbées. Elle souffre, on le voit, on le ressent, puis se répare en silence. Tant par sa respiration que par son expressivité, Nach transmet beaucoup au public. Les histoires se superposent, la danse, les fonds vidéo projetés, l’improvisation s’entremêlent. Si je devais retenir un passage, ce serait la chorégraphie accompagnée par un téléphone dans la main, flash allumé, qui intensifie les mouvements avec un jeu de lumière saisissant. »
« La performance de Nach était surprenante. Dès le début du spectacle, une tension se crée grâce aux sons et aux jeux de lumières. La danseuse noue un lien fort avec le public à travers ses expressions et ses regards appuyés. Son souffle, parfaitement maîtrisé, semble être une seconde personne qui accompagne Nach. Puissant, fort et étrange, le spectacle nous fait ressentir autant de sensations que la danseuse qui les véhicule. »
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